Ces sites habituellement inondés de touristes sont aujourd’hui déserts….
Si les situations économiques et sanitaires sont désatreuses, la Covid-19 ne pourrait-elle pas avoir un impact positif, à long terme ?
C’est en tout cas la réflexion qui a été menée par The Conversation.
Et si nous repensions le tourisme ? Dire stop au tourisme effréné et développer un modèle plus respectueux de la nature.
Pollution et dégradation des espaces naturels, fragilisation des sites….
Le constat est indéniable : Le tourisme de masse est un fléau pour l’environnement.
la nature a repris ses droits alors que pratiquement l’ensemble de la population mondiale était confiné.
C’est le cas notamment dans les parcs naturels de Thaïlande dans lesquels la faune et la flore ont pu se régénérer.
Forcées de reconnaître l’impact du sur-tourisme, les autorités ont pris la décision de fermer les parcs 2 à 4 mois chaque année à partir de 2021.
Privés des touristes, de nombreux acteurs du secteur ont été contraints de se réinventer.
Grâce aux nouvelles technologies, les entreprises ont accéléré leur transformation numérique.
De nouveaux modèles ont ainsi émergé, permettant d’imaginer une nouvelle forme de tourisme.
The Conversation évoque notamment "Lourdes United", le premier pèlerinage virtuel au monde.
L’événement, qui a rassemblé plus de 80 millions d’internautes, a été un véritable succès.
Cette initiative pourrait être l’opportunité de rompre avec le tourisme de masse mais se démocratisera-t-elle après la fin de la Covid-19 ?
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