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Une chroniqueuse de RMC, Barbara Lefebvre dérape en direct et déclenche de vives réactions en affirmant que les gens du voyage "n'ont pas les codes d'une société civilisée!" : "Qu'ils aillent se faire soigner ailleurs !"

Name: Une chroniqueuse de RMC, Barbara Lefebvre dérape en direct et déclenche de vives réactions en affirmant que les gens du voyage "n'ont pas les codes d'une société civilisée!" : "Qu'ils aillent se faire soigner ailleurs !"
Uploaded: 2024-04-12T17:03:12+02:00
Duration: 50 s

par morandini

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Sur RMC et RMC STORY dans "Les grandes gueules", les invités sont notamment revenus sur la violente agression d'un brancardier en Vendée, qui a été passé à tabac par un homme qui appartiendrait à la communauté des gens du voyage. Durant le débat, la chroniqueuse Barbara Lefebvre a notamment déclaré, au sujet de la communauté des gens du voyage:"Ces gens du voyage sont des gens qui n'ont pas apparemment les codes d'une société civilisée, ils vivent selon leurs propres lois et règles", a-t-elle déclaré. Et de lancer: "Si vous n'avez pas les codes, la porte est ouverte! Qu’ils aillent se faire soigner dans le pays des gens du voyage, je ne sais pas où c’est, mais qu’ils y aillent!"La chroniqueuse a également déclaré: "Et on le voit souvent dans des reportages, sur la question des animaux, quand vous avez des cirques qui sont tenus par des gens du voyage, je ne vous raconte pas dans quel état sont les animaux!"Et de surenchérir: "Vas demander à un préfet ou aux instances départementales vétérinaires de venir chercher les animaux, tu les as tous sur le dos, et ils t'attendent à coups de barres de fer! Des gens n'ont pas les codes, et si vous n'avez pas les codes, la porte est ouverte !"Des propos d'une rare violence qui montrent du doigt tout une population et une catégorie de gens, en l'occurrence ceux que l'on appelle les gens du voyage. Pourtant ces propos n'ont pas provoqué la moindre réaction, en plateau et en direct. Il a fallu attendre 48h pour avoir des excuses de la part de la chaine, mais sur les réseaux sociaux, cela ne semble pas avoir calmé la colère des centaines de personnes qui se disent "gravement insultées" par ces déclarations.