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Traitée de "salope" par Valérie Trierweiler pendant Pékin Express sur M6, l'humoriste Inès Reg réagit : "C'est quand même une ex Première Dame de France. C'est dur d'entendre ces mots là !"

Name: Traitée de "salope" par Valérie Trierweiler pendant Pékin Express sur M6, l'humoriste Inès Reg réagit : "C'est quand même une ex Première Dame de France. C'est dur d'entendre ces mots là !"
Uploaded: 2022-07-29T17:26:21+02:00
Duration: 48 s

par morandini

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Elle se fait lyncher sur les réseaux sociaux ! Le mot salope, lâché par l'ex Première dame, à l'encontre de l'humorise Ines Reg ne passe pas vraiment chez les téléspectateurs et les internautes. La quatrième étape de Pékin Express, diffusée mercredi opposait quatre binômes : l'humoriste Inès Reg et sa sœur Anaïs, Valérie Trierweiler et son amie Karine, l'ex-Miss France, Rachel Legrain-Trapani et son compagnon Valentin Léonard et les deux commentateurs sportifs Xavier Domergue et Yoann Riou.«Elles nous attendaient les salopes » a en effet lâché l’ex de François Hollande » lorsque Inès Reg et sa partenaire ont décidé de les mettre en difficulté en leur donnant le drapeau rouge ! Des propos dans la bouche du ex-première dame qui n'ont pas vraiment été appréciés par les téléspectateurs et les internautes pour qui "une ex-première dame ne devrait pas insulter les autres candidats"Lors d’un live Instagram, Inès Reg est revenue sur sa rivalité avec Valérie Trierweiler : "Depuis le début, elle était piquante avec nous. Par exemple quand on a mangé des couilles de taureaux, il y avait comme des os qui ne se mangeaient pas. Donc quand on a fini, on a demandé à la production si c’était OK comme on avait laissé que des os. Et quand elles nous ont vu partir, elles nous ont directement pointé du doigt. Ça a été coupé, mais elles ont hurlé : 'Elles n’ont pas fini !' Donc on était folles car c’est la personne de la production qui avait validé."Puis l'humoriste est revenue sur l'insulte car elle a découverte lors de la diffusion de l'émission d'M6 : "Oui nous avons découvert avec ma sœur, comme vous tous, que nous étions des salopes. Ce n’est pas grave. Même si je comprends le délire de se dire que c’est une femme qui a une carrière, une ex-Première Dame, que c’est dur d’entendre des mots comme ça."