Le président vénézuélien Nicolas Maduro protégé d'une attaque présumée d'un drone a été l'une des images fortes de ce mois d'août. Avec la facilité d'accès à cette technologie, ce type d'attaque risque de se multiplier. A tel point qu'on a surnommé les drones de loisir "d'arme du pauvre". Des rebelles syriens ou des membres de Daesh l'utilisent déjà pour faire de la reconnaissance. Des start-up planchent sur des solutions pour faire face à cette nouvelle menace: système d'alerte, dispositif de brouillage, dôme invisible et impénétrable, lance-filet… La gendarmerie française a déjà assuré disposer d'"une stratégie de veille, d'enquête et d'évaluation du matériel". Selon les spécialistes, s'adapter à des drones dotés d'intelligence artificielle sera le prochain défi.
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