Invitée du Supplément ce dimanche, la ministre de l'Education a assisté à un reportage sur l'association Barakacity, à laquelle appartient l'humanitaire Moussa Ibn Yacoub, actuellement détenu au Bangladesh.
L'association qui tente de faire libérer l'humanitaire était représentée par Idris Sihamedi.
Son organisation intervenant en Syrie, elle a fait l'objet récemment de l'attention des autorités, qui ont notamment mené des perquisitions dans ses locaux et il pense faire l'objet d'une fiche S.
Idriss Sihamedi affirme par exemple refuser de serrer la main des femmes:
"Non, comme certains rabbins, je ne serre pas la main aux femmes".
Ali Baddou lui demande ensuite si il condamne l'Etat islamique.
Et sa réponse est loin d'être claire:
"Ce n'est pas qu'on ne condamne pas l'Etat islamique, c'est qu'on essaye d'avoir une certaine pédagogie pour essayer de discuter avec les jeunes et pour leur faire comprendre qu'on est une alternative qui est bien, qui est pacifique. (...)
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