La colère de Claire violée il y a un mois à Paris par un Centre-Africain âgé de 25 ans, sous Obligation de Quitter le Territoire depuis 2 ans : "Si l'Etat avait fait son travail ce ne serait pas arrivé !"
par morandini
Claire témoigne ce matin sur CNews, et ce qu'elle raconte a de quoi faire réfléchir tous les politiques. Le samedi 11 novembre, cette jeune femme a été violée dans le hall de son immeuble, dans le centre de Paris, dans le pourtant très chic 8e arrondissement de la capitale. Au-delà du choc, ce qui provoque également sa colère c'est que l'homme qui l'a agressé était sous OQTF depuis plus de 2 ans, mais n'avais pas été expulsé de France. Elle raconte, cette journée d'horreur, dont elle a encore en tête tous les détails : "J’ai tapé le code de ma porte, j’ai marché cinq mètres dans mon hall et j’ai entendu des bruits de pas derrière moi. Je me suis retrouvée plaquée au sol. Je n’ai pas compris ce qu’il se passait. Je hurlais mais il m'étranglait de plus en plus. Il m’a dit : 'Tais-toi sinon je vais te tuer. Tu vas faire ce que je te dis, je vais te baiser."Au bout de trente minutes interminables, une voisine finit par entrer dans le hall et fait fuir l'agresseur.Cet homme est un SDF de 25 ans, de nationalité centrafricaine, quisera interpellé quelques heures plus tard avenue des Champs-Élysées. Déjà visé par une obligation de quitter le territoire français (OQTF) depuis 2021, il est mis en examen et écroué.Pour Claire : "Si cette OQTF avait été exécutée , ça ne serait pas arrivé. Toutes les semaines, on entend des histoires avec des femmes agressées par des personnes soumises à des OQTF ou qui sont récidivistes. Ce n’est pas normal, ce n’est pas un sujet qu'on doit laisser passer."
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