Francophonie : quand les Québecquois étrillent Emmanuel Macron
par closer
"M'inspirant de l'exemple nord-américain, j'ai toujours considéré que défendre le français ce n'était pas refuser de parler les autres langues (...) Pour ma part je n'hésite jamais à m'exprimer à la fois en français, ou dans la langue du pays hôte, ou également en anglais (...) sur des scènes internationales ou devant des milieux d'affaires, parce que je pense que cela renforce la francophonie de montrer que ce n'est pas une langue enclavée, mais une langue qui s'inscrit dans le plurilinguisme" , avait déclaré le président français lors d'une conférence de presse avec Philippe Couillard.Mardi 20 mars, Emmanuel Macron , qui a choisi la romancière Leïla Slimani comme représentante personnelle pour la francophonie , a présenté son plan "pour la promotion de la langue française et du plurilinguisme" , avec 33 propositions prônant "une vision nouvelle, décomplexée, de la francophonie et du multilinguisme" .
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