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Eric Woerth : "La 'fusion' d'Alstom avec Siemens est un mensonge, c'est une acquisition"

par franceinter

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L'ancien ministre du Travail de Nicolas Sarkozy et député de l'Oise est l'invité d'Ali Baddou dans Questions politiques.

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Eric Woerth sur les prières de croyants catholiques en extérieur : "Je les comprends, mais comme catholique je n'irai pas. Il y a un état de droit, il est indiscutable que les rassemblements propagent le virus."
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Eric Woerth : "S'il y avait eu des euros d'argent libyen, je les aurais vus. Je n'ai rien vu, parce qu'il n'y avait rien à voir. Monsieur Takkiedine est une homme de virements et de revirements."
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Eric Woerth : "C'est formidable d'être ministre de l'Économie et des Finances sans aucune contrainte budgétaire. Ils doivent se donner une contrainte. Au moment où ce virus aura disparu, il faudra que la France et l'Europe ne décrochent pas."
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Eric Woerth : "On n'aurait pas dû fermer les commerçants. La vraie erreur, ça a été la Fnac et les libraires. Dans ce genre de situation, il y a nécessairement des incohérences : certaines sont supportables, d'autres sont vécues comme des injustices."
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Eric Woerth : "Dans toutes ces nouvelles, il y a quand même eu deux bonnes nouvelles, Biden et le vaccin. Biden parce que ça va ré-ouvrir l'Amérique, le vaccin parce que c'est l'espoir du bout du tunnel. Quand il y aura un vaccin, je me ferai vacciner."
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Eric Woerth : "Noël doit être un moment où l'on peut se réunir en famille. Je pense qu'il ne faut pas de règles particulières (...). Le 31 décembre, si la fête, c'est pour mourir ensemble, ce n'est pas la super fête. Il faudra des règles."
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Eric Woerth : "Il faut mettre en avant l'idée que la France doit produire, créer, inventer. Les chaînes de production, le temps de travail, sont des sujets importants. L'autre sujet, c'est celui de la réduction des inégalités."
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Eric Woerth : "Au premier confinement était tragique, mais il y avait une sorte d'envie d'être ensemble (...) il y avait l'idée de s'en sortir. Là, on ne sait pas si on va s'en sortir, on espère juste pouvoir faire nos réunions familiales à Noël."
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Eric Woerth : "C'est toujours facile de dire "on aurait dû". Mais le déconfinement a été un relâchement, on s'est laissés aller. Il aurait fallu sans doute imposer quelques contraintes pour éviter cela. Il faut réussir le déconfinement."

Peine maximale de 20 ans requise contre Dominique Pelicot

25 novembre 2024 - leparisien

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