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Colère en direct d'une franco-israélienne contre les journalistes de BFM TV : " Si cette interview est pro-palestinienne j'arrête. C'est nous les victimes. Mon mari et mon fils ont été tués"

Name: Colère en direct d'une franco-israélienne contre les journalistes de BFM TV : " Si cette interview est pro-palestinienne j'arrête. C'est nous les victimes. Mon mari et mon fils ont été tués"
Uploaded: 2024-02-07T18:56:22+01:00
Duration: 2 min 2 s

par morandini

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Tension ce soir sur l'antenne de BFM TV avec l'interview d'une femme dont le mari et le fils ont été assassinés par les terroristes du Hamas le 7 octobre dernier. Sabine Taasa, était en effet en duplex et elle n'a pas apprécié la question des présentateurs de BFM TV, Alain Marshall et Olivier Truchaud , qui lui demandaient de réagir à la volonté d'Emmanuel Macron d'organiser une cérémonie d'hommages aux victimes françaises palestiniennes qui ont été tuées à Gaza. Sabine Taasa a eu du mal à contenir sa colère : "Je n'ai pas envie de vous répondre. C'est pas juste ce que vous en train de faire. Vous me mettez dans une situation ou je dois m'expliquer sur la raison pour laquelle mon mari et mon fils ont été assassinés. moi je vais vous dire, je suis prêt à vous montrer les images de vidéo surveillance de mon mari et mon fils qui ont été assassinés.Ces gens sont rentrés chez moi, dans mon terrain, dans ma maison. Personne ne nous a prévenu. Mais quand l'armée Israélienne intervient à Gaza, elle prévient de ce qu'elle veut faire pour que la population puisse se déplacer. Quelle armée au monde fait ça ?"En plateau, elle est alors relancée par les journalistes Alain Marshall et Olivier Truchaud : "Mais vous savez que la population ne peut pas se déplacer ?"C'est la question de trop pour Sabine Taasa : "Ecoutez, si cette interview elle est pro-palestinienne, j'arrête immédiatement. On est les victimes ! Ok ? C'est nous les victimes. Ils ne veulent pas de paix. Ils veulent effacer les juifs et les israéliens. Alors, moi je vous le dis, il ne vont pas nous effacer. On va continuer à se battre. On va continuer à vivre. Vos questions ne sont pas justes !"