Alors qu'il sera jugé en septembre prochain, Pauline Desmonts, la compagne de Nicolas Bedos affirme : "Oui, il peut être odieux, oui il peut être provoc, mais ce n'est pas un agresseur sexuel. Je le sais."
par morandini
Nicolas Bedos, qui sera jugé le 26 septembre 2024 pour "agression sexuelle en état d'ivresse et harcèlement sexuel, se tait car "l'ambiance générale ne se s'y prête pas" a expliqué Pauline Desmonts, sa compagne. Hier soir dans "Quelle époque sur France 2 ,elle a expliqué qu'il travaille depuis des années avec de nombreuses femmes autour de lui :"Oui, il peut être odieux, oui il peut être provoc, mais ce n'est pas un agresseur sexuel. Je le sais, je le connais, je l'ai vu. Je sais dans quel état il a pu se mettre avec l'alcool. C'est quelque chose qui est contextualisé à la fin de soirée."Une jeune femme de 25 ans affirme que le réalisateur l’a agressée dans un club du 1er arrondissement de Paris dans la nuit du 1er au 2 juin. « Il a tendu sa main droite au niveau de ma culotte », a expliqué la victime présumée dans sa plainte.« Je l’ai repoussé des mains en les apposant sur ses épaules », explique-t-elle aussi, affirmant avoir ensuite reconnu la star et demandé au vigile de le faire sortir.Interrogée sur la présence de témoins de la scène, la jeune femme répond : « pas vraiment ». Un témoin aurait « vu qu’il s’était passé quelque chose mais pas précisément », ajoute-t-elle. Nicolas Bedos n’a pas « le souvenir » de ces faits, a assuré son avocate, Me Julia Minkowski.« Un tel geste (…) n’a pu être qu’accidentel sous l’effet de l’ébriété », a-t-elle ajouté. En effet, devant les enquêteurs, le réalisateur a expliqué « ne pas remettre en cause la parole de la plaignante » mais assuré que « si ce geste a existé », il ne « peut être qu’accidentel », selon une source proche du dossier.
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