VIDÉO JO 2024. Une athlète paralympique kenyane trouve du « courage » dans l'haltérophilie
par Ouest France
Hellen Wawira Kariuki, haltérophile paralympique kenyane, intensifie son entraînement en vue des Jeux de Paris, le 28 août prochain. L'athlète kenyane, atteinte de spina bifida, une malformation congénitale de la colonne vertébrale, a terminé cinquième aux Jeux de Tokyo en 2021, mais espère cette fois-ci décrocher une médaille. À l'approche des Jeux Paralympiques de Paris, Hellen Wawira Kariuki, haltérophile kenyane, redouble d'efforts pour réaliser son rêve : décrocher une médaille. Née avec une malformation congénitale de la colonne vertébrale, le spina bifida, l'athlète de 31 ans a découvert l'haltérophilie en 2015. Depuis, ce sport a profondément transformé sa vie. « Je ne sais pas si je peux être un modèle pour les autres, mais je pense qu'il y a peut-être quelqu'un qui me regarde et qui aspire à faire ce que je fais », confie-t-elle au micro de l'AFP. Cette humilité masque pourtant un parcours d'une rare détermination. En 2021, Hellen Wawira a terminé cinquième aux Jeux de Tokyo. Cette année, elle se présente avec une nouvelle ambition : monter sur le podium. LIRE AUSSI. Jeux paralympiques. 1,75 million de billets vendus, près de 100 % de remplissage sur certains sitesLoin d'être un simple défi physique, l'haltérophilie a révélé en elle une force intérieure insoupçonnée. « Ce sport m'a permis de trouver un courage que je n'avais pas auparavant », explique-t-elle.
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