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VIDÉO. JO 2024. L'immense joie des supporters français après l'or au rugby à 7

par Ouest France

Samedi 27 juillet, l’équipe de France de rugby à 7 s'est imposée en finale contre les Fidji (28-7), double champions olympiques en titre, et a empoché le premier titre français de la quinzaine. Une performance majuscule qui a ravi les supporters français venus en nombre… Dans l’atmosphère effervescente du Stade de France, l’équipe de France a signé une performance magistrale samedi 27 juillet en dominant les Fidji (28-7), double champions olympiques en titre. Cette victoire éclatante, la première de la quinzaine pour la délégation tricolore, a ravi les supporters français venus en masse soutenir les hommes de Jérôme Daret.Sous le ciel de Saint-Denis, les Tricolores ont offert un spectacle de haute volée.L'ambiance du stade : le 8e homme Les supporters, véritables acteurs de cette soirée mémorable, ont joué leur rôle à la perfection. Les chants, les encouragements et l'énergie déployée dans les tribunes ont galvanisé les joueurs sur le terrain. Brice De Curraize, directeur associé d’un cabinet de conseil, n'a pas caché son enthousiasme à la sortie du stade : « C'était très bon, la France a été exceptionnelle aujourd'hui (samedi). Franchement, après mercredi, on n'y croyait pas trop je pense. Mais là aujourd'hui, ils ont été incroyables, je pense qu'il y avait le stade, l'ambiance, c'est ça qui fait gagner. Mais les deux équipes étaient très fortes, mais nous encore plus. »LIRE AUSSI. JO 2024 - Rugby. « J’aurai tout l’été pour regarder en arrière » : Antoine Dupont, le collectionneurAntoine Dupont, l'homme providentielSi la victoire est avant tout celle d’un collectif, certaines individualités se sont particulièrement illustrées. Antoine Dupont, en véritable chef d’orchestre, a une nouvelle fois démontré l’étendue de son talent. Pour Guillaume Koudlansky de Lustrac, consultant indépendant, le demi de mêlée mérite une mention spéciale : « Je pense que c'est un collectif, mais j'ai quand même envie de mettre Antoine (Dupont) un petit peu en avant. Aujourd'hui, je pense qu'on lui doit beaucoup et là c'est en train de devenir le GOAT du GOAT. »