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VIDÉO. Dalin au large des côtes bretonnes, « L’émission du Globe » navigue avec le Vendée Globe

Name: VIDÉO. Dalin au large des côtes bretonnes, « L’émission du Globe » navigue avec le Vendée Globe
Uploaded: 2025-01-13T10:06:48+01:00
Duration: 5 min 49 s

par Ouest France

Ce lundi 13 janvier, l’épilogue de ce 10e Vendée Globe est tout proche. Alors que la flotte entre dans son 64e jour de course, Charlie Dalin (Macif Santé Prévoyance) se trouve au large des côtes bretonnes avec une avance confortable sur Yoann Richomme (Paprec Arkéa). On fait le point sur la course dans « L’émission du Globe ». Leader de la 10e édition du Vendée Globe, Charlie Dalin touche au but puisque le navigateur normand se trouvait à moins de 400 kilomètres de l’arrivée aux Sables-d’Olonne, au pointage de 7h ce lundi.Désormais au large des côtes bretonnes, à 200 milles du but, Dalin (MACIF Santé Prévoyance) a encore un peu accru son avance sur son grand rival Yoann Richomme (Paprec Arkéa), qui se trouve de nouveau à plus de 190 milles. Cet écart devrait toutefois un peu décroître car le duo va retrouver des vents plus faibles en approchant des Sables-d’Olonne. Charlie Dalin a d’ailleurs déjà vu sa moyenne décroître, il naviguait lundi en début de matinée autour de 16 nœuds quand Richomme conservait un rythme avoisinant les 20 nœuds.« Oh ce que j’ai eu peur ! »Plus loin derrière au large des Açores, Sébastien Simon (Groupe Dubreuil) est bien installé à la troisième place. « Je n’ai pas grand-chose à jouer, si ce n’est préserver le bateau, prendre du plaisir, se reposer quand je le peux. Des conditions comme ça, grand soleil, mer plate… C’est un régal », savoure le skipper.Derrière le natif de La Roche-sur-Yon, la bataille fait rage pour la quatrième place. Un nouveau groupe de skippers, composé par Sam Goodchild (Vulnerable), Jérémie Beyou (Charal) et Paul Meilhat (Biotherm) se tient en quelques milles après le passage de l’équateur cette nuit.Lui, ne rejoindra pas l’hémisphère nord pour son deuxième Vendée Globe (9e en 2017), Éric Bellion (Stand As One - Altavia) a été contraint à l’abandon en raison d’une avarie qui a mis son mât en péril. Le marin de 48 ans est revenu sur son accostage « à risques » aux Iles Malouines. « Oh ce que j’ai eu peur ! Vous ne pouvez pas savoir l’aventure ! […] Je pense si on avait pris 10 minutes de plus, c’était foutu. »LIRE AUSSI. Suivez la journée du Vendée Globe de ce lundi 13 janvierRetrouvez quotidiennement durant la course, « L’émission du Globe