Vendée Globe. Distancé mais loin d'être abattu, Yannick Bestaven ne lâche rien
par Ouest France
Distancé à plus de 200 milles de la tête, ne comptez pas sur Yannick Bestaven pour baisser les bras. Celui qui a mené la course de nombreuses semaines durant sait que ça va se jouer à quelques heures. En vidéo, il explique tenter un coup par le Nord pour bénéficier de vents favorables. Une option payante ? On devrait vite le savoir. Mais avec en plus 10 heures de bonification dans sa besace, on aurait bien tort d'enterrer trop vite le skipper de Maître Coq IV.
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