15/09/2013. C’était la grande fierté de Vincent Lavenu quand il a annoncé son recrutement pour la saison 2013. En engageant l’Italien Domenico Pozzovivo au sein de la formation AG2R La Mondiale, le manager de l’équipe savoyarde espérait bien que son coureur brille sur le Giro et même, pourquoi pas, La Vuelta. Si le Transalpin n’a effectivement pas failli sur le Tour d’Italie, où il s'est classé dixième au général de l'épreuve, Pozzovivo n’a toutefois pas fait aussi bien que l’année d’avant où il avait terminé huitième mais avec une victoire d’étape à la clé. Mais voilà, sur ce Giro 2013, l’Italien a dû se mettre au service de son jeune coéquipier colombien, Carlos Betancur. Très discret, trop pour certains, le petit Italien n’en est pas moins efficace. Pour preuve. Sur cette Vuelta, il a, semble-t-il, encore franchi un palier. Il terminant sixième au classement général et au terme d’un parcours très difficile, avec une forte concurrence. Et ça aurait même pu être mieux s’il ne s’était pas fait piéger dans le coup de bordure des Saxo – Tinkoff sur l’étape de Burgos. Une étape où Pozzovivo concédait alors 1’30’’ sur son poursuivant immédiat, Nicolas Roche, voyant le Top 5 s’éloigner. Au final, sur ce Tour d'Espagne, il termine finalement à seulement 49’’ de la cinquième place. Reste que, pour sa première Vuelta, le bilan de Pozzovivo est plus que positif. Il s'en explique pour Cyclism'Actu.
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