Quand les sportifs s'autorisent un bras d'honneur...
par Libération
Si ce n'en est pas un, ça y ressemble beaucoup. Paul Pogba se serait laissé aller à un bras d'honneur après le but de Dimitri Payet, mercredi, lors de la rencontre de l'Euro face à l'Albanie (2-0) : une faute de goût alors que les Bleus n'ont, depuis 2010 et la mutinerie de Knysna, plus le droit au moindre faux-pas. Le milieu de terrain de l'équipe de France n'est pourtant pas le premier à se laisser aller sur les terrains de sport. Du bras d'honneur adressé par le perchiste polonais Wladyslaw Kozakiewicz, tout juste champion olympique, au public de Moscou en 1980, en passant par celui de Mark Webber à 250 km/h et celui - beaucoup plus ironique - de Tommy Robredo à l'intention d'un invincible Andy Murray, passage en revue de quelques bras et doigts d'honneur repérés sur et autour des terrains de sport.
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