OM-Monaco : des Olympiens toujours pas guéris, les notes et appréciations des joueurs
par La Provence
L'OM a rapidement eu le pain et le couteau pour gagner ce match, mais n'a pas profité de son avantage au score pour prendre confiance et jouer. Bien au contraire, les joueurs ont reculé, temporisé, puis tremblé, attendant encore la fin de la rencontre pour tout donner de façon brouillonne. Le contraste a été évident avec Cesc Fabregas, à peine arrivé, mais pas encore pollué par la situation de Monaco et qui a étalé sa technique sereine, au contraire d'Olympiens toujours aussi malades.Le système était hybride. Quand l'OM avait le ballon, c'était un 4-2-3-1, avec Ocampos avant-centre, Sanson côté gauche ; à la perte de balle, Sanson reculait, Ocampos et Payet se partageaient l'axe et le côté gauche pour défendre. Cela devait permettre d'éviter les trous que peut laisser Payet quand il ne se replace pas, tandis que Sanson devait courir encore plus. Autant dire que tous les systèmes du monde ne servent à rien quand les joueurs n'ont ni tonus ni initiative, ni adresse ni instinct de survie.
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