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Booba se paye Karine Le Marchand qui réplique !

Name: Booba se paye Karine Le Marchand qui réplique !
Uploaded: 2018-09-05T13:49:42+02:00
Duration: 1 min 47 s

par 6MEDIAS

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Tout a commencé par une vidéo de chaton. Karine Le Marchand a posté dans la story de son compte Instagram une vidéo de deux chatons, Lulu et Oréo qui se bagarrent. Sur la vidéo repérée par le Huffington Post, l’animatrice et productrice de « L’amour est dans le Pré » écrit « Booba et Kaaris », puis on peut l’entendre dire « On n’est pas à Orly, ça suffit ». Karine Le Marchand fait ici référence à la rixe qui a opposé les deux rappeurs dans le terminal de l’aéroport d’Orly début août. Une vidéo qui n’a pas manqué de remonter aux yeux de l’un des deux intéressés. Booba a répondu à l’animatrice également par Instagram. Le rappeur a republié sa vidéo. Il y ajoute un commentaire sur Karine le Marchand et sur son ex-compagnon, le rappeur Joey-Star. "Dis ça à ton ex le crackers qui a 14 condamnations pour violences sur femmes et animaux pauvre cloche" L’animatrice et Joey Starr ont eu une relation entre le mois de mars et juin dernier. Booba a également partagé les messages privés entre lui et l’animatrice. « Ce n'est que de l'humour franchement cher Monsieur je ne suis pas dans vos histoires et, il me semble que je ne vous manque pas de respect... si vous suiviez mes stories vous verriez que je n'attaque jamais personne », se défend l'animatrice. Donc 'pauvre cloche' je ne l'accepte pas et je pense que vous devriez reconsidérer vos propos. » Le rappeur ne tient pas à en rester là puisqu’il rétorque « J'ai qu'ça à foutre de suivre tes stories, j'prend pas de d'crack moi ». Le rappeur s’attaque encore ici à Joey Starr qu’il qualifiait déjà de « cracker » dans les messages précédents. Joey Starr va-t-il s’en mêler ? Pour le moment il s’est contenté de partager la capture d’écran du clash sur sa story Instagram. Rappelons que Booba et Kaaris se retrouvent ce jeudi devant le tribunal. Les deux rappeurs doivent être jugés pour des faits de violences aggravées et de vols en réunion. Ils risquent jusqu’à dix ans de prison.