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Une question d'histoire

par universcienceTV

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L'historien Laurent Heyberger nous apprend que l'arrivée du train a fait grandir les Européens mais rapetisser les Américains...Un épisode de la série "Grand et petite".

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Laurent-Henri Vignaud : "On est dans une confrontation avec le pouvoir qui dépasse le débat sur les vaccins"
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L'historien Jean-François Sirinelli : "Ce qui me frappe actuellement, c'est notre inaptitude à gérer ensemble le dissensus"
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Vaccins et anti-vaccins: 5 questions à un historien des sciences
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les matins d'été - Jacques Arnould
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Laurent-Henri Vignaud : "A chaque étape de mise en place d'un vaccin obligatoire, il y a eu résurgence des mouvements antivax purs et durs. En 1951, la mise en place du BCG a donné naissance à la première ligue antivax française."
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Laurent-Henri Vignaud : "L'obligation vaccinale, c'est que vous pouvez la décrétez, après, le point principal, c'est comment la faire appliquer. Pour le pass sanitaire, ce qui choque, c'est le côté "toi tu rentres, toi tu ne rentres pas"."
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Laurent-Henri Vignaud : "Si vous êtes uniquement sur le débat de la dangerosité des vaccins, vous ne mettez pas des centaines de milliers de personnes dans la rue. Là, on est dans une confrontation frontale avec le pouvoir."
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Antoine Bristielle : "Dans le cas de la vaccination contre le Covid, les personnes qui au départ disaient qu'elles n'allaient pas se faire vacciner exprimaient des doutes sur l'efficacité. Mais on n'était pas sur une frange structurellement anti-vaccin"
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Laurent-Henri Vignaud : "Dès l'apparition des vaccins au XIXe siècle, il y a eu des arguments contre la vaccination, qui pouvaient être religieux, naturalistes, des gens qui n'y croyaient pas ou des arguments politiques."
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Antoine Bristielle : "Dans le profil des personnes qui soutiennent ce mouvement contre le pass sanitaire, il y a des personnes qui sont soit abstentionnistes, soit proches de la France insoumise, soit du Rassemblement national"
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Antoine Bristielle : "Il y a des anti-vaccins dans ces manifestations, mais il y a aussi des gens qui manifestent contre le pass sanitaire. 17% des Français refusent de se faire vacciner, alors que 40% des Français ont de la sympathie pour ce mouvement."
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Marc Lazar sur la situation politique en Italie : "Il y aura peut-être une crise de régime"
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Grand et petite - Une question d'histoire
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Jean-François Sirinelli : "Je suis très troublé, en tant qu'historien, par le groupe La République en Marche. Au bout de quatre ans, j'ai du mal à définir ce qu'il y a dans la tête d'un député LREM."
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Jean-François Sirinelli : "La valeur centrale, c'est l'intérêt général : à un moment donné, les cultures politiques se sont mises d'accord, ont eu à cœur une ligne d'horizon qui est l'intérêt général."
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Jean-François Sirinelli : "La République, en tant qu'institution, tient le coup. Je parle d'un syndrome de la banquise : progressivement, des parties de la société se détachent du cœur de la société par détresse sociologique."
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Jean-François Sirinelli : "La civilisation républicaine se met en place à la fin du XIXe siècle, mais elle connait un véritable bain de jouvence au lendemain de la Seconde Guerre mondiale."
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Jean-François Sirinelli : "L'expression de "vivre ensemble" est commode pour essayer de réfléchir à la question, pourquoi pouvons-nous dire "nous" ? Dans le vivre ensemble, il y a un aspect de volonté de vivre ensemble."
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Jean-François Sirinelli : "Si j'avais un cri d'alarme à lancer, il est sur l'école : il faut sanctuariser l'école, qui représente l'émancipation par rapport aux déterminismes sociaux, et l'émancipation culturelle, la conquête de la liberté d'esprit."
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Tracts et papillons de la Résistance
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Jean-Pierre Filiu : "Il faut faire une distinction très nette entre la débâcle des États-Unis, et la réalité de la souffrance terrible du peuple afghan. On entend une petite musique à Washington visant quasiment à culpabiliser les Afghans."
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Atiq Rahimi : "Je suis désespéré, car je sais que maintenant, les islamistes, les djihadistes, un peu partout dans le monde, se disent "c'est possible". On va avoir des jours un peu durs."
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Le 22h du 23/03/2015
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Jean-Pierre Filiu : "D'un côté, il y avait une force structurée autour d'un projet politique, de l'autre une sorte de cartel d'intérêts tenu à bout de bras par les États-Unis qui en 20 ans n'a pas réussi à implanter des institutions durables."

Mbappé avant les législatives : « C'est vraiment urgent » » - Foot - Euro 2024 - Bleus

4 juillet 2024 - lequipe

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