L'exemple est connu : à Toronto, Google – via sa filiale Sidewalk Labs – réhabilite un quartier pour le transformer en une zone « intelligente », bourrée de capteurs, de caméras, et autres innovations de pointe. Plaidant la bonne foi, l'entreprise américaine jure qu'elle ne fait que collaborer avec les acteurs publics. Mais, un peu partout dans le monde, des voix se lèvent : est-ce vraiment à une multinationale d'œuvrer à la remise à neuf d'un quartier ? Et n'y a-t-il pas, derrière les discours pétris de bonnes intentions de Google, une vision politique affirmée ?
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