Le jackpot discret de l’industrie musicale : la synchro [CA$H MUSIQUE #5]
par telerama
“Ah mais c’est la musique de la pub pour [insérer marque] !” Devenir ainsi indissociable d’une réclame, d’une série, d’une émission télé, ce n’est pas vraiment le but d’une chanson. Mais ça peut rapporter gros (voire très gros) aux musiciens. La synchronisation musicale, soit le fait de placer une composition sur des images qui bougent – est devenue l’une des bouées de sauvetage de l’industrie musicale à l’époque de la crise du disque. Alors qu’elle se porte aujourd’hui bien mieux, la synchro reste l’une des machines à cash pour les artistes indépendants – qui peuvent arriver aux oreilles du grand public et empocher possiblement un gros pactole –, comme pour les éditeurs – métier aussi discret qu’essentiel à l’industrie musicale – et, évidemment, pour les majors. Décorticage de cette poule aux œufs d’or en compagnie du duo d’electropop Charlotte Fever (dont on entend les chansons dans “Emily in Paris”), Guillaume Heintzmann, spécialiste de l’édition musicale avec son entreprise Alter K, et Jean-Baptiste Roch, journaliste au service Musiques de “Télérama”.Les autres épisodes de CA$H MUSIQUE sont visibles ici : https://www.youtube.com/playlist?list=PLVqfjXoCgKbZvwmpiSu68WjkrTb7g9XHu#emilyinparis #strangerthings #charlottefever #pub #nutellaÉCRITURE :JÉRÉMIE MAIREAVEC L’AIDE DU SERVICE MUSIQUES DE TÉLÉRAMARÉALISATIONPIERRICK ALLAIN et FRANÇOIS-XAVIER RICHARDREMERCIEMENTSMATHILDE LOIREDELYA LOPESROBIN MATHIEUMAXENCE SORELLA MAROQUINERIEVous avez aimé cette vidéo ? Abonnez-vous à notre chaîne YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCb9EmqspwO4fHZHvJdM38HA?sub_confirmation=1Retrouvez-nous sur les réseaux sociaux !Instagram : https://www.instagram.com/teleramaTikTok : https://www.tiktok.com/@teleramafrTwitter : https://twitter.com/TeleramaFacebook : https://www.facebook.com/Telerama
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