Le 14 mars dernier, Vitaa a fêté ses 38 ans. Après 15 ans de carrière, la chanteuse a évoqué brièvement ses débuts dimanche 18 avril dans une story partagée sur son compte Instagram. Après avoir montré à ses abonnés ses prouesses culinaires du week-end, la jeune femme a dévoilé l’un des morceaux de son premier album, A fleur de toi, sorti de 2007, qu’elle dit ne pouvoir écouter aujourd’hui. Ce titre intitulé Ton autre a été écrit par Mounir Maarouf, Antony Gouin Tamburro, et Vitaa elle-même. Une chanson dans laquelle la chanteuse s’adresse visiblement à sa maman. "Si je n’étais pas sortie si différente de toi, Si forte et indépendante s’entendrait-on mieux que ça ?, Et si je n’étais pas partie à dix-sept ans de chez toi, Si j’étais moins exigeante, m’en voudrais-tu comme ça ?", chante l’acolyte de Slimane. Des paroles difficiles à écouter pour elle aujourd’hui comme elle le confie à ses abonnés dans sa story : "Ce morceau pour ma maman… peux toujours pas l’écouter…"
Vitaa revient sur sa relation avec Slimane
Si Vitaa est très proche de sa famille, elle l’est tout autant de ses amis. Dans le numéro de Paris Match sorti en kiosques jeudi 8 avril, la chanteuse et Slimane sont revenus sur leur relation et la complicité qu’ils entretiennent. L’interprète d’Une fille pas comme les autres a notamment expliqué qu’ils étaient de simples amis : "Quand je vois passer des articles qui disent que Slimane et moi, on ne s’entend pas, ça m’exaspère…". Elle précise même ce qui fait selon elle le ciment de belle histoire : "Si les gens savaient combien on est proche… Il y a toute une partie qu’on ne montre pas. D’ailleurs, on filme beaucoup pour montrer un jour les coulisses. C’est vraiment une histoire d’amitié. On a tous les deux ce côté très famille, nos religions, tout ça nous rassemble."Au-delà de partager les mêmes valeurs que son ami chanteur, Vitaa avoue de surplus avoir été séduite par la personnalité du vainqueur de la cinquième édition de The Voice. "C’est qui me plaît chez lui, c’est sa franchise. Dans ce métier, j’ai longtemps eu tendance à prendre des pincettes par peur du regard des autres. La première fois que je l’ai vu, je me suis dit : 'Lui, il n’y va pas par quatre chemins !' Ça m’a plu.", énonce-t-elle.
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