Pédocriminalité: les candidats aux abonnés absents. Réveillez-les ! Voici leurs adresses mail...
par Karl Zero
Toutes celles et ceux qui ont vu 1SUR5, le film contre la pédocriminalité, ont compris l’extrême gravité du problème en France, qu’il était temps de se réveiller pour éradiquer ce fléau. Parmi vous, il y a des militantes et des militants politiques. C’est à vous que je m’adresse aujourd’hui. Nous avons envoyé à tous vos candidats 13 mesures d’urgence (elles sont à la fin) que nous souhaitons voir se transformer en loi, dès la prochaine mandature. Nous souhaitons pouvoir en débattre avec eux, et filmer ces débats, afin que chaque électeur puisse voter en connaissance de cause. La cause c’est elle des enfants, et c’est à nos yeux la plus importante de toutes. A ce jour, à deux mois du premier tour, nous n’avons reçu que deux réponses positives: celle de Fabien Roussel et celle de Marine Le Pen. Ca veut dire quoi ? Ca veut dire que tous les autres s’en cognent, des gosses ? 160 000 enfants violés par an en France c’est annexe ? Ca passe après le covid, le prix du gaz, le pouvoir d’achat, les Ephads, l’Ukraine, les sports d'hiver ? Un pays qui protège pas ses propres enfants c’est quoi ? C’est un pays qui est mort. Je demande donc à toutes les militantes et militants de foutre la pression à leurs candidats pour qu’ils arrêtent de faire les autruches, de nous raconter qu’ils sont surchargés... ou qu’ils ont piscine. Je compte sur vous. Les Mélenchon, Jadot, Pécresse, Zemmour, Hidalgo, Taubira, Poutou, Macron et tous les autres, n’oubliez pas que "Qui dit ne mot consent". Je vous joins les adresses mails des candidats "récalcitrants": inondez les de mails, qu'ils "daignent" nous recevoir, et rappelez leur nos treize mesures que voici: 1. Imprescriptibilité des crimes sexuels commis sur mineur.e.s. 2. Reconnaissance de l’amnésie traumatique. 3. Éradication de toute référence au « syndrome d’aliénation parentale », pseudo théorie invalidée par la communauté scientifique, mais toujours appliquée en France. Radiation de liste des « experts » de tous professionnels inscrits sans formation spécialisée. 4. Ré-examen de l’ensemble des dossiers de pédocriminalité classés sans suite par la Justice au nom de l’« absence de lésions génitales », de « conflit conjugal », de « séparation conflictuelle » et d’ « absence de parole de l’enfant ». 5. Suppression de l’amendement « Roméo et Juliette ». 6. Inversion de la charge de la preuve pour les crimes sexuels commis sur mineur.e.s. 7. Création d’un organisme de contrôle de l’ensemble des institutions en lien avec l’enfance (Education Nationale, ASE, milieux éducatif et sportif...) 8. Obligation pour toutes ces institutions avant toute embauche de consulter le fichier FIJAIS. Inclusion dans le FIJAIS de toutes personnes incriminées par loi quelque soit la durée de condamnation, y compris celles condamnées à du sursis. Responsabilité pénale engagée pour les institutions qui n’en tiendraient pas compte.. 9. Prise en charge financière par l’État des psychothérapies pour les mineurs abusés. Menées par des spécialistes réellement formés. Reconnaissance par les assurances des viols sur mineurs et incestes comme « accident de vie ». 10. Création d’un cours dès la maternelle, puis tout au long du cursus scolaire : droits et prévention des violences ( sensibilisation et débats en classe autour du harcèlement, du consentement, de la pédocriminalité, de l’inceste, des violences éducatives, des violences numériques...) animés par des professionnels formés, et non pas par des associations. 11. Application de l’article 227-24 du Code Pénal pour protéger les mineur.e.s des contenus pornographiques numériques. Obligation pour tous les fournisseurs d’accès de transmettre à la justice les adresses IP des cyber-pedocriminels hébergés dans leurs « clouds ». Création au sein de la police nationale d’une véritable cellule de veille et de traque uniquement dédiée à la cyber-pédocriminalité, dotée de véritables moyens humains et technologiques, à l’instar des USA ou du Royaume-Uni. 12. Reconnaissance et application effective du droit à un avocat et/ou à un « tiers digne de confiance » choisie par l’enfant victime à chacune des étapes judiciaires auxquelles il peut être confronté. Enregistrement audio et vidéo de toutes ces étapes. Ne plus imposer de « visites médiatisées » aux enfant ayant révélés des situations d’inceste, à moins que le parent soupçonné ne justifie d’un réel suivi psychothérapeutique individuel. 13. Interdiction pour les auteurs de violences sexuelles sur mineur.e.s. de faire effacer d'internet les articles médiatiques les concernant. Relayez-nous: jean-luc.melenchon@assemblee-nationale.fr nicolas.dupont-aignan@assemblee-nationale.fr (Poutou) bordeauxenluttes@gmail.com anne.hidalgo@paris.fr valerie.pecresse@iledefrance.fr emmanuelmacron3@gmail.com (Zemmour) dpt75@parti-reconquete.fr yannick.jadot@europarl.europa.eu
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