Dès la rentrée prochaine, Michel Drucker animera une nouvelle version de son émission culte "Vivement Dimanche". Quelques mois après sa longue hospitalisation, l'animateur est déjà en train de travailler pour combler ses fans fidèles. Actif à la télévision depuis plus de plus de 56 ans, Michel Drucker endosse aujourd'hui les rôles d'animateur et de producteur. En cinq décennies, il a ainsi cumulé une jolie petite fortune et un très beau patrimoine.
Michel Drucker : son salaire mensuel dévoilé
Aux commandes de l'émission "Vivement Dimanche" depuis 1998, Michel Drucker est aujourd'hui payé près de 40 000€ par mois pour l'animer. Il est d'ailleurs à la tête de sa propre société de production baptisé DMD... qui cartonne puisque le chiffre d'affaires annuel avoisine les 10 millions d'euros. En 2017, le mari de Dany a donc pu se verser 1,4 millions de dividendes comme le révèlent nos confrères de Marie France, notamment grâce à une marge de 18% générée cette année-là.
Cette belle progession et ce joli versement a permis à Michel Drucker de s'offrir un avion privé. En 2017, l'animateur a en effet acheté un appareil de haute-technologie Diamond Aircraft d'une valeur d'un million d'euros. Cet appareil de six places est uniquement possédé par 11 personnes en France, selon le distributeur.
Michel Drucker : ces autres activités qui lui rapportent beaucoup d'argent
En dehors de son activité d'animateur et de producteur, Michel Drucker a d'autres rentrées d'argent. Il est par exemple l'exploitant du célèbre studio Gabriel où sont tournées de nombreuses émissions. Il loue les plateaux à de nombreux producteurs comme Laurent Ruquier. Les lieux sont aussi loués pour des conventions d'entreprise.Ajoutons à cela ses bénéfices en tant qu'auteur puisqu'il a écrit plusieurs livres ces dernières années. Selon le magazine Capital, ses oeuvres se sont vendues à plus de 750.000 exemplaires. Doivent être comptabilisés aussi : les bénéfices de son spectacle "Seul avec vous..." et la facturation des milliers d'archives de télévision que sa société détient. Selon Capital, 30 secondes coûteraient plusieurs centaines d'euros. Pour comparer, sachez que l'INA, l'Institut national de l'audiovisuel ferait payer jusqu'à 760 euros les 30 secondes.
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