Claude François, l'ombre au tableau
par Karl Zero
Dans les années 70, on tolérait bien des choses en matière de sexualité avec des mineurs. Cloclo, qui parlait volontiers de son goût pour les « jeunes filles en fleurs » en profita largement, à l’instar d’un David Hamilton…Il recruta même Jean-Luc Brunel ( réapparu dans l’affaire Epstein) pour lui monter sa propre agence de mannequins, afin de créer un vivier de modèles, qu’il photographiait lui-même pour son propre magazine érotique. Présentant cela comme une « communion d’amour » avec de très jeunes fans qui... quarante ans plus tard l’aiment toujours. Plus encore que tout autre, Cloclo avait compris l’étonnant pouvoir sexuel que conférait le titre d’idole yéyé. Ses « favinettes » des années 70 et une ex- Claudette témoignent, sans langue de bois, sur les relations que la star entretenait avec de très -très- jeunes filles. Dans cet opus de notre série « L’Ombre au Tableau », Daisy d’Errata et moi on revient sur ce mystère Claude François.Tel le Phénix renaissant des cendres d’un bûcher des vanités qu’il avait lui-même allumé, Claude François, en s’électrocutant en 1978, toucha enfin au but: être une icône éternelle. Plus jamais il ne vieillirait, ni ne s’énerverait, ni ne serait dévoré d’angoisses et -surtout - de pulsions malsaines…
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