Gamine, elle se rasait la tête pour pouvoir faire du vélo comme un garçon dans les rues de Téhéran. Tout dans le parcours de Golshifteh Farahani est lié au fait d'être née femme. Un parcours en forme de combat contre l'ignorance. Alors, quand on lui parle de #Metoo, elle regrette surtout l'aspect phénomène de mode du mouvement, et que les femmes, au fond, ne soient pas réellement "libres". Entretien.Retrouver toute l’actualité, les reportages, les enquêtes, les opinions et les débats de "L’Obs" sur notre site : https://www.nouvelobs.com/
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