Cannes 2014 : "Saint Laurent", chronique d'une autodestruction
par lemondefr
La salle était comble, samedi matin, pour ce qui est sans doute l'un des films les plus attendus de la quinzaine : trois mois après la sortie d'Yves Saint Laurent, de Jalil Lespert, c'est au tour de Bertrand Bonello de se livrer à l'exercice délicat du biopic sur le grand couturier. Avec Saint Laurent, le cinéaste se départit de l'aspect chronologique courant dans ce type de réalisation pour se concentrer sur une dizaine d'années dans la vie du créateur, aux prises avec ses démons intérieurs. L'avis des critiques du Monde, Franck Nouchi et Jacques Mandelbaum. Images : Olivier Clairouin / Le Monde.fr - samedi 17 mai 2014
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