Spendesk, les cartes de paiement de l'entreprise
par Digital Business News
Neuvième startup lancée par le startup studio eFounders, Spendesk propose une vraie solution aux problèmes récurrents d'achats en ligne et de paiements extérieurs par les salariés d'une entreprise. Virtuelle ou physique, libre ou sous validation, la carte Spendesk va devenir la meilleure amie de l'agilité et des comptables. Rencontre avec son CEO, Rodolphe Ardant. Dans toutes les entreprises, quelle que soit leur taille, acheter un produit ou service en ligne ou en lieu de vente est un authentique cauchemar pour les salariés et les comptables. Souvent unique dans les TP, la carte de paiement de l'entreprise - ou pire, ses codes - passe de main en main pendant que les factures flottent dans un no man's land administratif où elles se perdent régulièrement. Pour enfin trouver une solution fiable à cette friction économique, Spendesk a lancé récemment un nouveau type de carte de paiement totalement destiné aux entreprises. Simple morceau de plastique qui affiche les informations nécessaires à un achat en ligne ou véritable carte de paiement au volume d'activité défini par la direction, elle permet d'équiper chaque collaborateur amené à réaliser des achats d'une solution de paiement personnelle et sécurisée. La hiérarchie décide totalement de la somme dont elle crédite une carte et de sa liberté d'utilisation (avec ou sans validation préalable). Elle peut suivre l'activité et agir en temps réel via une application mobile. De son côté, le collaborateur est incité par une notification, dès l'achat réalisé à transmettre la facture correspondante, téléchargée ou photographiée, sur la plateforme Spendesk. La fin de la course éperdue aux factures en fin de mois ! Spendesk a fait testé gartuitement son service dès les premières semaines par des fleurons du web comme Wededia, Deezer ou iAdvize avant de lancer la version payante (au nombre d'utilisateurs et au volume d'achat sur les cartes physiques). La startup, initiée et pulsée économiquement par eFounders, affiche dès sa création des ambitions européennes avant même une certainement proche série A. Rencontre chez eFounders avec Rodolpe Ardant, CEO de Spendesk. @spendesk
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