P. Artus (Natixis) : "La prochaine crise sera extraordinairement violente"

par L'invité des Echos

Avec 5.500 milliard d'euros de dettes souveraines à taux négatif aujourd'hui, il est légitime de se demander ce qui peut se passer, si comme le fait la Fed, les taux remontent graduellement. Pour Patrick Artus, "du moment que vous amenez les taux d'intérêt à long terme à un niveau extrêmement bas, vous êtes dans une énorme irréversibilité."

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