Le combat des demi-dieux au Japon
par Le Monde
L'écurie Arashio, à Tokyo, compte quatorze sumotoris. Debout à 5h30, les lutteurs s'entraînent trois heures par jour - de 7h à 10h du matin - dans le dohyo (aire de combat). Au Japon, ils ne sont plus si nombreux à ambitionner de devenir sumo aujourd'hui, malgré la popularité toujours très forte de ce sport de combat. En cause : l'abnégation exigée par la vie en communauté, la discipline de fer et la dureté des entraînements, qui dissuadent de plus en plus de candidats.
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