Le débat de mercredi soir « sera forcément tendu » car François Hollande et Martine Aubry « sont deux personnes qui se détestent ». « Il y a un matelas énorme de rancoeurs entre eux », qui remonte aux années 1990, explique Cécile Cornudet, grand reporter aux « Echos ». Mais, quelle que soit l'issue du second tour de la primaire, ils ne devraient pas se déchirer pendant la campagne et ont tout intérêt à se soutenir l'un l'autre. Pour ne pas revivre l'échec de 2007.
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