Interview vidéo - Guillaume Devauchelle (Valeo) "la voiture autonome est une révolution" (partie 2)
par caradisiac
Ur le fond comme sur la forme, il y a une véritable continuité entre les deux modèles. On retrouve ainsi une carrosserie type shooting brake avec 4 places et un vrai coffre (450 litres), une motorisation V12 atmosphérique (690 ch contre 660 précédemment, et un couple de 697 Nm dont 80% sont disponibles dès 1 750 tr/mn), une transmission intégrale sophistiquée accordée à une boîte à double embrayage à 7 rapports. Mais les évolutions sont nombreuses, avec un style plus tranché et dynamique, ce que soulignent notamment la calandre élargie et allégée visuellement, trois barrettes horizontales remplaçant le grillage de la FF, ou la ligne pavillon plus fuyante qu'auparavant. Des prises d'air latérales à trois lames font leur apparition sur les flancs, tandis que les feux doubles à l'arrière surplombent un spoiler arrière dessiné de façon à évacuer l'air vers le centre, ce qui a pour double vertu, d'après Ferrari "de diminuer la trainée et accélérer l'extraction". Techniquement, la principale nouveauté réside dans l'adoption d'un train arrière à roues directrices, pour une efficacité et une agilité encore optimisées, en accord avec le différentiel électronique (E-Diff) et les amortisseurs adaptatifs (SCM-E). Ainsi parée, la bête passe de 0 à 100 km/h en 3,4 s, double cette vitesse 7,1 secondes plus tard, et accroche 335 km/h en pointe. Plutôt logeable (pour une sportive), ultra-performante, cette GTC4Lusso n'est pas loin de représenter la quintessence même de la voiture de grand tourisme.
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