Essai VW Polo 2009
par autoplus
Volkswagen Polo 1.4 85 ch ConfortlineLa saga Polo se poursuit, avec l’arrivée de la 5e génération de la fourmi ! Ce nouvel opus gagne en dynamisme et en caractère avec sa face avant façon « petite Golf ». Les cotes de la citadine ont été revues à la hausse. Enfin, même si elle partage son châssis avec la nouvelle Seat Ibiza, la Polo ne franchit toutefois pas le cap des 4m de long. A bord, les habitués retrouvent facilement leurs marques. Les principaux changements concernent le dessin et les matériaux de la planche de bord. Sur les finitions supérieures, Volkswagen a opté pour des plastiques moussés. Côté équipements, la finition Trendline est un peu chiche, préférez la Confortline qui reçoit clim, autoradio CD MP3 ou encore contrôle de pression des pneus de série.Sous le capot, 3 diesels et 3 essence. Le 1.4 85 ch, plus puissant essence pour l’instant disponible, offre de bonnes sensations pour une consommation maitrisée : de 5,9l au 100. A noter qu’il est l’un des deux blocs à être proposé avec une boite DSG à 7 vitesses. Enfin coté confort, les Polo progressent. La tenue de route s’améliore avec notamment un roulis mieux maitrisé. Malgré un gain de 5 cm en longueur, et 3 cm en largeur, l’habitabilité de la Polo évolue peu. L’espace à la tête et aux coudes reste juste. Seule la longueur aux jambes progresse, grâce à des assises plus creuses. Enfin côté équipement notez que dès notre finition intermédiaire, la 5 portes reçoit des vitres électriques.Comme sur la Golf, c’est désormais le logo Volkswagen qui sert de poignée d’ouverture du coffre. Le volume de chargement de la Polo a augmenté de 8% comparé à la précédente génération. Banquette rabattue, le volume reste dans la moyenne de la catégorie. A noter l’arrivée, de série, d’un double plancher pour fractionner le coffre.La nouvelle Volkswagen Polo s’affirme. Elle bénéficie de motorisations plus performantes et d’un meilleur comportement routier. En outre, son habitacle s’embourgeoise avec des matériaux plus valorisants, et une boite de vitesse à double embrayage. Côté tarifs Volkswagen a fait des efforts. Ainsi à équipement égal, l’allemande n’est pas plus chère que ses rivales françaises.
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