La Chine est la première consommatrice d’ânes au monde.
La peau d’âne entre dans la composition de certains remèdes traditionnels, notamment contre les insomnies ou la ménopause.
La Chine se tourne maintenant vers l’Afrique pour satisfaire sa demande en peaux, ce qui provoque une augmentation du braconnage.
À 150 euros l’âne, l’appêtit des braconniers est énorme ; certains animaux sont volés, battus à mort ou écorchés vifs.
En Afrique, certains pays ont d’ores et déjà interdit l’exportation d’ânes vers l’Asie.
Sous l’effet de cette énorme demande, l’âne pourrait avoir disparu d’ici 5 ans au Burkina Faso.
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