Des dizaines de familles chinoises menacent de faire la grève de la faim. Objectif : obtenir des réponses de la part du gouvernement malaisien sur le sort de leurs proches, les passagers du vol MH370.
Plus de 10 jours après la disparition du Boeing de la Malaysia Airlines, ils continuent de se réunir dans un hôtel de Pékin. Et, impuissants, ils sont de plus en plus en colère.
“Les Malaisiens comptent les jours, mais nous Chinois, nous comptons les secondes. Les familles sont sur le point de s’effondrer. Il y a tellement de familles qui vont et viennent, certaines sont déjà parties. Les plus jeunes peuvent tenir bon mais les plus âgés ont déjà craqué.”
La disparition de l’avion mobilise les efforts de plus de 25 pays dans de vastes régions du monde : du nord de la Thaïlande à l’Asie centrale, de l’Indonésie au sud de l’océan Indien. Une zone de recherche au total plus grande que l’Australie.
La Malaisie a demandé aux pays susceptibles d’avoir été survolés par l’appareil de réexaminer leurs données satellites et radars.
La désactivation des systèmes de communication du Boeing et son changement radical de trajectoire ont été “délibérés”, selon les autorités malaisiennes.
Le changement de cap aurait été effectué manuellement via un code informatique vraisemblablement programmé par une personne dans le cockpit du Boeing 777.
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