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Ce doit être un gars qui a placé Cole Caufield sur le chemin de 50 buts. Il s'est dit que Montréal était suffisant depuis 1990. Nous avions 32 ans sans voir un tel remplissage de filet. Le dernier était Stéphane "Ripon Richer", lecélèbre 44. De plus, le nouveau 22 peut être très petit, mais c'est spectaculaire, sympathique, beau mec, humble, il aime Montréal et Montréal l'aime. Il a l'instinct et il a des objectifs importants qui changent les matchs. Avant la réunion d'hier, 12De ses 15 buts avaient été inscrits 5 contre 5. Cela vaut l'or. Qu'est-ce que vous en voulez plus? Cole annonce le MCDO et nous permet de faire de temps en temps le petit "merci" en français. Le paysage a changé. Il n'a même pas d'importance si le club ne gagne pas, nous sommes en reconstruction. Quel réconfort pour Martin St-Louis, même lorsque le jeu de puissance est brisé, même lorsque nous concédons trois évasions dans une périodeou même lorsqu'un gardien stupéfiant. Lorsque nous reconstruisons, nous avons le temps pour Jonathan Drouin et nous avons même oublié que Paul Byron est membre de cette équipe. Imaginez, sans même le forcer ou le chercher, nous avons trouvé un acte répréhensible des torts qui non seulement sont forts et plantés, mais en outre, qui sait jouer. Nous ne pouvons pas épeler notre nom, mais nous aimons Arber Xhekaj. Nous avons volé Kirby Dach à Chicago, Sean Monahan à Calgary, Juraj Slafkovsky, c'était le bon choix et admettre que Mike Matheson de Pointe-Claire n'est pas mal plus attachant que Jeff Petry dont la femme avait assez du Dix30. Tout en haut Le club n'est pas candidat à la série, mais tout nage, c'est beau, c'est amusant. Nous sommes tous retournés au paradis pour se demander les supporters. Jeff Gorton, Kent Hughes, Bravo. Nous devons reconstruire chaque année. En cas, ce club marche avec neuf choix au premier tour à bord, un âge moyen de 26 ans et des appâts comme Mike Hoffman, Evgenii Dadonov, Christian Dvorak, Joel Edmundson, Jake Allen ou même Brendan Gallagher pour construire davantage. C'est tellement agréable. Il doit être fascinant de vivre dans les bureaux du Canadien quand Carey Price ne parle pas. Même quand il pleut, il fait beau. Enclave
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