VIDEO. Waldemar Kita évoque la situation difficile du FC Nantes et l'avenir de son entraîneur

par Presse Océan

Alors que le FC Nantes traverse une passe difficile sur le terrain, avec une 14e place de Ligue 1, à égalité de points avec le barragiste Saint-Etienne, le président Waldemar Kita a évoqué les difficultés économiques et sportives de son club... ainsi que l'avenir de son entraîneur Antoine Kombouaré, fragilisé par les mauvais résultats. Dimanche, en marge de l'inauguration de la Tribune des légendes du FC Nantes et de la défaite face à Marseille (1-2), Waldemar Kia a été interrogé sur la situation sportive et économique du club. Le président a laissé filtrer quelques messages qui pourraient laisser penser qu’il a envie de passer la main, alors qu’il y a quelques semaines un rachat par un fonds d’investissement, via le joueur de Liverpool Trent Alexander-Arnold, a été évoqué.             « La fondation sert à donner la meilleure image possible du FC Nantes, tout comme les services communication, marketing ou les réseaux sociaux. J’essaie de cultiver cela et celui qui viendra après moi s’en servira peut-être aussi », a dit WK avant de rappeler que son club est « dans une situation économique et sportive délicate ».             Sur la situation de Kombouaré : « J'espère que je partirai plus tôt que lui »« Ça m’inquiète énormément, a-t-il appuyé, je le dis depuis plusieurs mois. Aujourd’hui, garder les joueurs c’est difficile, conserver un entraîneur c’est super difficile. Tout le monde est exigeant et en plus les mentalités, l’état d’esprit ont changé. Moi, je dois m’adapter à la situation économique et sportive. Aujourd’hui, j’ai très peur du futur car gérer un club de football ça coûte excessivement cher. Je fais des conneries, sûrement, mais j’assume, ça vous ne pouvez pas me le reprocher. »          Le président assumera-t-il de se séparer d’Antoine Kombouaré, si la série de mauvais résultats (sept matches consécutifs sans succès) se poursuit ? L’entraîneur nantais est-il menacé ?             « Non, il n’est pas fragilisé, coupe l’homme d’affaires, et j’espère que je partirai plus tôt que lui ! » a-t-il conclu dans un éclat de rire.

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