VIDÉO. Vous détestez le coiffeur ? Vous n’êtes pas seul et souffrez peut-être de barbierop
par Ouest France - Wibbitz
Vous détestez le coiffeur ? Vous n’êtes pas seul et souffrez peut-être de barbierophobie. Pour certaines personnes, , prendre rendez-vous dans un salon de coiffure est une véritable épreuve. . Certains choisissent de se couper les cheveux eux-mêmes, , demandent à des proches, ou retardent l’échéance du « rendez-vous coiffeur » le plus possible. . Mais qu’est-ce qui explique , cette appréhension ? Explications. Certaines personnes redoutent le « rendez-vous coiffeur », , sans pour autant que cela soit pathologique. Pour d’autres, par contre, c’est une véritable phobie, identifiée. . « Cette phobie s’appelle la barbierophobie. Ou phobie , d’aller chez le coiffeur » explique Rodolphe Oppenheimer, psychothérapeute et psychanalyste à Paris. Cela correspond à une phobie spécifique, que le thérapeute , définit ainsi : « Ce que l’on nomme la phobie spécifique est une crainte liée à un objet ou à une situation particulière. . Le sujet ressent une peur excessive , et déraisonnable face à une situation qui ne représente pas un danger réel. » . Et dans ce cas de figure, les explications peuvent être anciennes : , concernant la barbierophobie, « il faut aller chercher dans les lointains souvenirs de l’enfance concernant la cause ». Dans certains cas, on peut lier , ces inquiétudes à une forme d’anxiété sociale. . Le thérapeute parisien confirme : , « Être vu par d’autres personnes et être en contact avec les coiffeurs » peut générer cette anxiété. La peur de croiser quelqu’un que l’on connaît, , le contact physique avec son coiffeur ou sa coiffeuse, l’appréhension de confier ses cheveux, . souvent partie intégrante de notre identité, , à quelqu’un d’autre… sont autant de raisons évoquées pour expliquer cette anxiété face à son coiffeur. Les personnes concernées par cette peur , multiplient les astuces pour éviter de prendre ce fameux rendez-vous. . Mais lorsqu’il s’agit d’une véritable phobie, Rodolphe, Oppenheimer conseille quand même de se tourner vers une thérapie comportementale et cognitive
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