VIDÉO. Virus Mpox : un nouveau variant « plus transmissible et plus virulent », mais pas d'alarmisme
par Ouest France
Pas d’alarmisme du professeur Pierre Tattevin, chef du service des maladies infectieuses du CHU de Rennes, à propos du virus Mpox qui sévit notamment en Afrique. Un CHU qui a déjà mis en place un circuit de prise en charge spécifique pour d’éventuels cas. Le CHU de Rennes est prêt à prendre en charge d'éventuels patients atteints du variant du virus Mpox qui sévit notamment en Afrique centrale. « On en aura certainement et nous devons avoir un circuit qui, à la fois, garantisse qu’on puisse réaliser un diagnostic rapide pour savoir s’il s’agit du Mpox ou pas, et aussi que l’on ne mette pas en danger les autres patients qui se présentent à l’hôpital », assure le professeur Pierre Tattevin, chef du service des maladies infectieuses du CHU de Rennes.Pas d'alarmismeUn praticien hospitalier qui rappelle aussi que la France avait déjà été touchée en 2022 par une épidémie de Mpox avec 5 000 cas recensés et quelques décès touchant surtout déjà des personnes immuno-déprimés.Si le praticien hospitalier rennais constate que le nouveau variant « semble être plus transmissible qu’auparavant et aussi plus virulent avec plus de formes graves y compris chez des gens qui ne sont pas immuno-déprimés », il n'affiche pas non plus d'alarmisme.
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