VIDÉO. Vendée Globe. «  Je vais y arriver ! » : en plein océan, Antoine Cornic prépare son chantier

par Voiles et Voiliers

Isolé au milieu de l'océan Indien, Antoine Cornic ne peut toujours pas réparer son rail de grand-voile. Mais contre mauvaise fortune bon coeur, le skipper d'Human Immobilier bricole tout ce qu'il peut en amont. Avec sa gouaille habituelle et un moral qui fait des hauts et des bas, le Rochelais passe en revue les étapes de son chantier. Et son bricolage semble fonctionner ! « On est tous seuls, on n'a pas le choix », pense tout haut Antoine Cornic. Seul au milieu de l'océan Indien, le skipper d'Human Immobilier doit bien trouver les solutions pour réparer son rail de grand-voile arraché dans un vrac il y a quelques jours. « Il paraît que c'est l'été Austral ! », peste le marin contre ce sale temps, tout en gardant le sourire. Faute de pouvoir monter au mât dans une mer encore bien trop grosse, le Rochelais patiente en bon marin, en préparant son chantier. À commencer par démonter un morceau de rail à la base du mât, pour le remonter tout là-haut. « Je vais y arriver, je vais y arriver », s'encourage le skipper aux airs de MacGyver. Vendée Globe. Suivez la cartographie en direct.« Très content de sa journée » et de ses premières avancées, Antoine Cornic nous détaille son bricolage étapes par étapes. Un bout démonté par ici, remonté par là... quand on est sur un Imoca au-delà du 40e parallèle, il faut savoir se débrouiller seul ! En attendant, le 32e de ce Vendée Globe fait route à l'Est à 15 noeuds de moyenne. Prochaine étape, l'île Saint-Paul pour trouver enfin des conditions propices à la réparation.  

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