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VIDÉO. Une nuit à Saint-Lô avec les porteurs des journaux Ouest-France

par Ouest France

Toutes les nuits, les journaux Ouest-France parcourent des kilomètres pour arriver dans les boîtes aux lettres des abonnés de la Manche.Leur premier voyage part de l'imprimerie à Chantepie, à côté de Rennes. Ils sont acheminés jusqu'au dépôt dans la zone Delta à Saint-Lô. Les routeurs et les porteurs s'occupent ensuite chacun de leurs secteurs. « Être matinal »Tout le monde peut devenir porteur de journaux, employé en CDD ou en CDI, à condition d’avoir un véhicule personnel : vélo, scooter et voiture, dont les kilomètres sont indemnisés. L’activité permet souvent de compléter son salaire ou sa retraite. Valérie Guénerie gère le dépôt de Saint-Lô. « Pour être porteur de journaux, il faut être insomniaque, blague-t-elle avant de poursuivre. Il faut être matinal, sérieux et ponctuel. »« C’est du sport dès le matin. La préparation, c’est un petit coup de stress et après c’est de la balade. Tous les jours, je prends un bon bol d’air, apprécie David Durand, du secteur de Coutances. On n’a personne sur le dos, c’est tranquille. »Un secteur qui recruteC'est une activité qui permet aux personnes de compléter ses revenus ou sa retraite. Valérie Guénerie cherche toujours des porteurs pour étoffer son réseau. Pour postuler :  recrutements.porteurs@orange.fr.

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24 novembre 2024 - leparisien

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