VIDÉO. Une marée de coquilles Saint-Jacques, avec Aurélie Conort, à bord du « Fury-Breizh »
par Ouest France
Aurélie Conort, 36 ans, travaillait déjà à vendre la pêche de son conjoint, Jonathan Tomas, patron du « Fury-Breizh », un chalutier coquillier de Saint-Quay-Portrieux. Elle s’occupe aussi de la communication et de l’administration de l’armement. En septembre dernier, elle a démarré une formation de matelot au lycée maritime de Paimpol. Désormais, elle participe à la pêche à la coquille. Les femmes matelots sont rares« Je me forme pour venir en renfort sur la pêche à la coquille et gagner du temps sur le tri, explique-t-elle. Il faut que le bateau puisse repartir au chalut tout de suite après avoir débarqué les saint-jacques. Les temps sont durs, entre l’augmentation des charges et du gasoil et le manque de poissons pendant les travaux du parc éolien. »Encore rares, les femmes matelots comme Aurélie Connort se font tout de même de plus en plus nombreuses. Cette année, elles représentent presque un tiers des effectifs en formation continue à l’école maritime de Paimpol. Et parmi elles, une sur deux est conjointe de pêcheur.
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