VIDÉO. Trois mois après l'or aux Jeux paralympiques, à la rencontre de Frédéric Villeroux

par Ouest France

Capitaine de l'équipe de France de cécifoot, qui a conquis les cœurs et la médaille d'or paralympique à Paris, Frédéric Villeroux a pris le temps de revenir sur les Jeux et sa récente notoriété. Le joueur de 41 ans, chouchou des Français lors de la séquence paralympique, début septembre, a ouvert les portes de sa maison, en Gironde. Frédéric Villeroux a dit oui. Tout de suite. A demandé si deux heures, c’était suffisant. Et il a ouvert la porte de sa maison, au fond d’une impasse à Mérignac.Chouchou des 12 000 spectateurs du Stade Tour-Eiffel et des téléspectateurs, le capitaine de l'équipe de France de cécifoot a ébloui par sa technique hors du commun et sa faculté à mener les Bleus sur le toit du monde.Trois mois après l'ivresse du titre, le Girondin de 41 ans est revenu sur les émotions de ce 7 septembre, la notoriété naissante et l'avenir du parasport, alors qu'il milite et enfile dès qu'il le peut sa casquette d'ambassadeur.LIRE AUSSI. Aurélie Aubert, médaillée d’or en boccia à Paris, va être sponsorisée par Kinder jusqu’en 2028« J’avais aussi les connaissances avant, mais on me demande beaucoup plus mon avis depuis l’or. C’est dommage. Mais on se doit quoi qu’il arrive de prendre ce rôle, c’est notre devoir. En tout cas, je le perçois comme ça. Quand on a représenté l’équipe de France, on a tous un devoir d’être ambassadeur du parasport, de le mettre dans la lumière. »

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