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VIDÉO. Retraites, voile… Ces propositions que les deux candidats ont fait évoluer pour le second tour

Name: VIDÉO. Retraites, voile… Ces propositions que les deux candidats ont fait évoluer pour le second tour
Uploaded: 2022-04-20T16:01:26+02:00
Duration: 1 min 41 s

par Ouest France - Wibbitz

Retraites, voile… Ces propositions que les deux candidats ont fait évoluer pour le second tour.Avant même le second tour, plusieurs propositions phares, des candidats finalistes à l’élection présidentielle ne sont déjà plus ce qu’elles étaient.On fait le point sur ce qu’ils disaient avant, et ce , qu’ils proposent depuis leur qualification au deuxième tour de l’élection présidentielle.Âge de départ à la retraite : Macron se dit prêt à alléger sa réforme.Emmanuel Macron avait fait de sa réforme , des retraites l’une des mesures phares du programme pour sa réélection.Le candidat a affirmé être « prêt à bouger » sur , la réforme des retraites et « ouvrir la porte » à un report de l’âge de départ à 64 ans, plutôt qu’à 65 ans.Interdiction du port du voile : une priorité… qui n’en est plus une pour Marine Le Pen.En janvier 2021, l’interdiction des « tenues islamistes » , dans tout l’espace public figurait clairement dans le contre-projet de loi sur le séparatisme de Marine Le Pen.Lors d’un déplacement le 15 avril 2022 elle a affirmé , qu’elle n’était « pas obtuse » sur le sujet, évoquant un « problème complexe ».Calcul des allocations pour les handicapés : « on va le bouger », concède finalement Emmanuel Macron.Pendant la campagne du premier tour, Emmanuel Macron , était le seul candidat à ne pas proposer la « déconjugalisation » de l’allocation aux adultes handicapés.Alors qu’un nouveau mode de calcul était réclamé, par toutes les oppositions, Emmanuel Macron semble finalement prêt à revoir le calcul de cette aide.Peine de mort : Marine Le Pen n’exclut pas un référendum… puis recule.Au début de la campagne pour le second tour, , Marine Le Pen affirmait sur France 2 que la peine de mort « pourrait passer par un référendum ».Vendredi 15 avril, interrogée sur « BFM TV », , Marine Le Pen a changé de discours : « On ne peut pas, c’est anticonstitutionnel ».