VIDÉO. Pollution, coûts élevés, temps perdu… Les embouteillages toujours aussi pénibles, s
par Ouest France - Wibbitz
Pollution, coûts élevés, temps perdu… Les embouteillages toujours aussi pénibles, surtout à Paris. Comme le rapporte « Le Parisien », l’édition 2023 , du Traffic Index de Tom Tom, qui s’appuie sur l’analyse des données de circulation automobiles . de plus de 600 millions de systèmes de navigation , à travers le monde, permet de mesurer l’ampleur des dégâts. En France, c’est à Paris que les automobilistes passent, le plus de temps coincés dans les embouteillages, devant Bordeaux et Lyon. Un résultat qui n’a rien d’une surprise, . car 50 % des déplacements domicile travail, sont effectués en voiture dans la capitale. Sur un trajet de 10 km en heure de pointe, les Parisiens , perdaient en moyenne 8 minutes et 50 secondes, contre 8 minutes et 16 secondes en 2022. . Sur l’année, ce sont ainsi 120 heures qui se sont envolées, , soit 10 h 44 de plus que l’année précédente. « La période du Covid, sur laquelle nous avions misé , pour espérer un changement des habitudes, n’a manifestement pas eu les effets escomptés . puisque nous sommes revenus à des niveaux de trafic , routier d’avant 2019, analyse Vincent Martinier, directeur marketing de Tom Tom France. . Le télétravail est là mais de plus en plus d’entreprises , font revenir leurs salariés au bureau et la réduction des vitesses maximales autorisées, . comme les 30 km/h à Paris, n’a pas encore eu d’effet , mesurable sur les niveaux de densité de la circulation. ». Les conducteurs profitant des bouchons pour écouter , la radio seront peut-être plus sensibles au coût des embouteillages, renforcé par l’explosion des prix du carburant. . Ainsi, un conducteur parisien prenant chaque jour , sa voiture pour se rendre au travail, à une distance de 10 km (soit 20 km aller/retour), aura dépensé 934 € en essence. . Sur cette somme, 288 € proviennent uniquement, des embouteillages. Paris gagne également la palme de la ville où l’impact environnemental du trafic congestionné est le plus fort, . devant Nice et Marseille. Selon le Traffic Index, , une voiture essence a émis en moyenne 1 115 kg de CO2 dans la capitale lors de ces déplacements, . dont 344 kg provenant uniquement des bouchons. , En 2022, c’était environ 309 kg
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