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VIDÉO. « On a eu 47 nœuds, la mer est blanche » : Sébastien Simon méchamment secoué avant le Horn

par Voiles et Voiliers public

Le marin est à deux jours du cap Horn, la sortie tant attendue des mers du Sud. Mais la route est encore semée d'embûches pour le skipper de l'Imoca Groupe Dubreuil, qui évolue dans des conditions toniques. Les traits de son visage sont tirés. Les mers du Sud fatiguent les organismes et Sébastien Simon n'échappe pas à la règle. Sur ses écrans du bord, l'anémomètre s'affole. « On a eu 47 nœuds là, lance le marin, depuis son cockpit fermé. L'océan Pacifique ne nous laissera pas tranquille jusqu'au cap Horn. » LIRE AUSSI : VIDÉO. Vendée Globe. Clarisse Crémer : « Jusqu'au cap Horn, c'est un peu le carnage »Un départ au tasAlors qu'il commente le ciel bleu derrière-lui, son bateau part « encore » au tas. Sébastien Simon, malgré son foil endommagé, est encore dans le match pour les premières places. Il pointe en 3e position à 467 milles du leader, Yoann Richomme.