VIDÉO. Les requins ont des millions d’années de plus que les dinosaures, estiment des scie
par Ouest France - Wibbitz
Les requins ont des millions d’années de plus que les dinosaures, estiment des scientifiques. Alors que la phobie des requins refait surface comme , chaque été, la chaîne de télévision américaine Discovery Channel organise la 35e édition de la « Shark Week » . du dimanche 23 au samedi 29 juillet 2023. Le but ? , Sensibiliser le public sur l’importante et l’utilité de ces grands prédateurs plus que jamais menacés et mal-aimés. D’après une étude publiée en 2021, les populations , de requins et de raies ont chuté de 71,1 % entre 1970 et 2018, essentiellement à cause de la surpêche. . Pourtant, ces poissons cartilagineux, sillonnent , les eaux du globe depuis la nuit des temps. En effet, les premières traces de fossiles de requins . remontent à 450 millions d’années, , soit 90 millions d’années avant les arbres et 190 millions d’années avant les dinosaures. Le continent unique qu’était la Pangée a éclaté, , il y a 250 millions d’années, soit 200 millions d’années après les premiers coups de nageoire des requins. . D’après les spécialistes, ces poissons auraient survécu à , cinq extinctions massives dans l’histoire de notre planète, dont l’une a anéanti 96 % de toute la vie marine. Aujourd’hui, les requins sont répartis en 500 espèces. , La plus petite tient dans une main quand la plus grande peut faire la taille d’un bus scolaire. . D’autres espèces, ont quant à elles une longévité , exceptionnelle, comme le requin du Groenland qui selon certaines scientifiques pourrait vivre au moins 400 ans. . Ce qui fait de ce poisson, le vertébré connu , ayant la durée de vie la plus longue sur Terre, selon une étude publiée en 2016. De plus, certaines espèces seraient utiles , à l’environnement. C’est le cas du requin-tigre, l’un des prédateurs les plus craints d’Australie. . Les principales proies de ce poisson , (tortues vertes, raies pastenagues, etc) évitent les eaux peu profondes pour leur échapper, . ce qui permet aux herbiers marins de se développer et , de devenir une zone de reproduction sécurisée pour les poissons juvéniles, les crevettes ou encore les crabes. De plus, ces herbiers absorbent le carbone , présent dans l’atmosphère et jouent ainsi un rôle majeur dans la régulation du climat
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