La Birmanie a été ce lundi le théâtre d'un coup d'Etat mené par l'armée qui a arrêté la cheffe de facto du gouvernement civil Aung San Suu Kyi, proclamé l'état d'urgence pour un an et placé ses généraux aux principaux postes.
« La grande crainte aujourd'hui est bien sûr que tous ceux qui se sont exprimés contre l'armée au fil des ans, pendant la démocratie, doivent tous se cacher, car ils pourraient faire face à des représailles », s'inquiète Phil Robertson, le directeur adjoint de Human Rights Watch, en charge de l'Asie.
Vidéo suivante dans 5 secondes
