VIDÉO. Les cloches descendues de l’église de Trémentines
par Ouest France
Marie-Augustine, Georgette-Marie-Caroline, Pierre et Paul ont été descendues mercredi 2 octobre 2024 de l'église de Trémentines (Maine-et-Loire). Le beffroi était fragile, menaçant. Pendant ces travaux de solidification, l'entreprise Bodet Campanaire va restaurer les quatre cloches de l'édifice religieux. Marie-Augustine, Georgette-Marie-Caroline, Pierre et Paul, et une quatrième cloche dont le nom n’a pas encore été identifié, ont été descendues mercredi 2 octobre 2024 du beffroi de l’église Notre-Dame de l’Assomption de Trémentines (Maine-et-Loire), édifiée en 1860.Les cloches exposées au publicLes plus anciennes, pesant entre 1,1 et 1,4 tonne, datent de l’après Révolution. Le clocher, reconstruit en 1687, portait les armes de Colbert. La plus récente, et la plus petite (371 kg), a été installée en 1992 en hommage à Pierre et Paul, les fondateurs du groupe Bodet, établi dans la commune depuis 1868. C’est d’ailleurs une filiale, Bodet Campanaire, qui intervient sur la descente des cloches et leur restauration. Cette impressionnante opération nécessite l’intervention de quatre campanistes.Lire aussi : VIDÉO. « Il faut être bricolo » : ces campanistes restaurent les beffrois des églisesCertains carillons n’ont pas été délogés de leur tour depuis plus d’un siècle. Le public pourra d’ailleurs les approcher de près à l’occasion d’une exposition. Mais pas avant décembre 2025…
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