Depuis la fermeture du pont de Cheviré, mercredi 31 janvier, bloqué par des agriculteurs en colère, les automobilistes de l’agglomération nantaise se reportent massivement sur les bacs de Loire.
Les voitures sont à touche-touche pour optimiser le nombre de véhicules à bord des bateaux qui tournent à plein régime, en heure de pointe toute la journée. Sur place, beaucoup de travailleurs l’empruntent. « On comprend, on attend, on anticipe », indique un employé d’une entreprise de ménage. Ce midi, jeudi 1er février, le service gratuit, alternative bien pratique au pont de Cheviré, carbure. Ce qui permet de n’attendre qu’un bac en général, soit 20 minutes. « C’était l’horreur ce matin, il a fallu attendre cinq bacs », témoigne le travailleur.
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